L’art de fuir, mais fuir quoi ?
La police, les membres de gangs rivaux, les femmes, les amantes, la famille. Toujours être obligé de fuir quelque chose ou quelqu’un pour (sur)vivre dans le ghetto. Toujours être sur le qui-vive, regarder derrière soi, observer les allées et venues, les voisins, les amis, les attitudes des uns et des autres pour savoir qui a balancé qui.